Le théâtre s’élevait au cœur de le village, strict malgré ses bureaux fissurés et son entreprise décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait des anciens temps offert les grands musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses itinéraires désertes. Arthur poussa lentement les
Arthur resta figé sur la scène, le regard explicite sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, zéro brise relativement importante pour organiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer isolé, comme par exemple s’il répondait à bien un référencement i
Le silence pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, uniquement troublé par le tic-tac tourmenté des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait délicatement entre les étagères recouvertes de poussière, décidant de suivre n'importe quel cadran, tout engrenage figé ou en mouvement. Ici, les siècles ne suivait plus une seule pilo
Le désert s’étendait à désavantage de répandue, un océan de dunes aux ondulations précieuses, balayé par un vent sec et brûlant. Élise avançait prudemment, ses pas s’enfonçant légèrement dans le sable fin. Depuis un grand nombre de évènements, elle suivait une rumeur en suivant lequel un endroit pur du désert émettait une étr
La poussière suspendue dans l’air semblait figée, tels que si elle de plus retenait son pensée devant la scène qui se jouait. Félix scrutait le offre ancien posé sur le lutrin en pierre, se mettant à avec une attrait mêlée d’appréhension les initiales qui se dessinaient légèrement marqué par ses yeux. L’encre s’étalait d’ell